mercredi 30 mars 2011

Contre-enquête

12 commentaires:

Pti Pierre a dit…

J'ai un jardin bio-ionisant, c'est pourquoi je déménage vers une contrée plus propre (tout du moins je le crois).

Anonyme a dit…

Mon potager est bio.... pour combattre les limaces, pas de produits, je les coupe simplement en deux !
dpi

Anonyme a dit…

berk )

Anonyme a dit…

Combien se rendent compte de l'ironie cachée dans les dessins qui sont simplement 'flippes'?

René a dit…

Très écologique ça, le recyclage des dessins de la veille...
René J.

Anonyme a dit…

Le plus marrant est est le mini sondage (ou suffrage) sur la blague...

Quand il s'agit du lobby nucléaire beaucoup voient cela comme vrai mais quand il s'agit des écolos, peut veulent reconnaître que c'est aussi vrai...

TOUS les sondages sont falsifies folks. TOUS.

Manu a dit…

Il y a du vrai dans les deux positions, ce sont les raccourcis qui tronquent tout.

La complexité du débat ne doit pas faire peur parce que la réalité se fout pas mal des dogmes et des raccourcis.

Le problème est que l'environnement et sa gestion sont à considérer dans une perspective systémique, c'est à dire qu'il s'agit d'un ensemble d'éléments en interdépendance et en interaction. Lorsque l'on touche un des éléments, qu'on en ajoute ou en retire un, ça affecte l'ensemble en positif, en négatif, ou sur les deux plans.

Ce n'est pas à priori la technologie nucléaire stricto sensu qui me semble en cause à Fukushima Dai Ishii, c'est une convergence de catastrophes naturelles qui a provoqué la défaillance des systèmes de refroidissement. Les réacteurs ont été arrêtés automatiquement lors du séisme, mais ils mettent entre trois et quatre semaines pour refroidir dans des conditions normales je crois.

J'imagine mal les énergies alternatives - peu productives en réalité, et très chères - remplacer le nucléaire. A moins de diminuer considérablement nos consommations et de modifier radicalement notre mode de vie. Il y aura un choix à faire.

Par contre, en effet, lorsque le nucléaire foire, le truc devient incontrôlable et les conséquences sont atroces. Pour un accident, il y a plein d'autres sites qui fonctionnent sans problème, mais chaque accident a des proportions gigantesques. Avec un effet particulièrement effrayant quand on réalise que les radiations de Tchernobyl et de Fukushima nous survivront bien longtemps après notre propre mort.

Cruel dilemme. Cette catastrophe n'enlèvera pas le fait que les barrages hydroélectrique se "bouchent" de sédiments au bout de 30 à 50 ans, et ralentissent le débit de l'eau en aval, que le carburant "vert" demande beaucoup d'eau et d'énergie pour sa propre production, ou bien encore qu'il faudrait des milliers d'éoliennes sur la côte Sud de la France pour remplacer une centrale. Et que ça coûterait la peau du Q en maintenance.

Franchement, qu'est-ce qu'on doit faire ? : (

Anonyme a dit…

Tiens, il est temps de monter une éolienne ici!

Anonyme a dit…

Il vaut mieux se battre avec les bêbettes dans le jardin (sans les couper en deux bien sur, ironie de la jardinière)que ne plus avoir du tout de bêbettes dans le jardin. La vie dans la nature n'est-elle pas le reflet de la bonne qualité de l'air ?
dpi

Manu a dit…

De l'équilibre de l'écosystème plus largement, oui. Chacun a de quoi se nourrir et a sa place en tant qu'élément du tout. Air, eau, terre, présence d'espèces et de genres variés, tout va ensemble.

Jérôme a dit…

Tout de suite, on trouve la blague beaucoup moins drôle que la veille (à tous les coups, c'est à cause du côté "recyclage")(il aurait fallu faire cette version en premier pour voir).

Pti Pierre a dit…

Bon c'est bien beau, mais tout ça ne me dit pas ou je vais la trouver, ma contrée plus propre.