Les indégivrables est le titre d'une série de strips (bd courtes) publiés chaque jour dans la "Check-list", newsletter du monde.fr, le site internet du quotidien Le Monde.
La série est également publiée en recueils (trois tomes parus) par Inzemoon.
Pour avoir travaillé en solitaire dans une entreprise de contrôle technique j'ai pu "goûter" aux bonheurs de chacun de nos pingouins. Et donc, à mon avis, le bonheur du travailleur indépendant c'est qu'il n'a pas de chef à proximité qui lui aboie des ordres, mais la solitude est quelquefois difficile à supporter. Et il faut savoir gérer son affaire seul. En entreprise on a des collègues, des chefs quelquefois ch…. d'autres fois plus sympas. On ne les choisit pas. C'est la loi des groupes il faut s'adapter. Mais quelle richesse de pouvoir communiquer, d'échanger même quand nos avis sont différents.
Le plus dur pour les indépendants : apprendre à travailler tout seul. Quand il fait 40° à l'ombre, qu'on a qu'un pauvre ventilo qui brasse rien du tout sous la main et qu'il faut écrire un dossier journalistique... On abandonne généralement tout pour se réfugier dans le lit, volet fermé. Résultat : le retard s'accumule :D
Dessinateur de presse à tendance zoophile depuis 1986. Ouvre son animalerie sur le monde.fr en 2002 et se spécialise en pingouinologie à partir de 2004.
2 commentaires:
Pour avoir travaillé en solitaire dans une entreprise de contrôle technique j'ai pu "goûter" aux bonheurs de chacun de nos pingouins.
Et donc, à mon avis, le bonheur du travailleur indépendant c'est qu'il n'a pas de chef à proximité qui lui aboie des ordres, mais la solitude est quelquefois difficile à supporter. Et il faut savoir gérer son affaire seul.
En entreprise on a des collègues, des chefs quelquefois ch…. d'autres fois plus sympas. On ne les choisit pas. C'est la loi des groupes il faut s'adapter. Mais quelle richesse de pouvoir communiquer, d'échanger même quand nos avis sont différents.
Le plus dur pour les indépendants : apprendre à travailler tout seul. Quand il fait 40° à l'ombre, qu'on a qu'un pauvre ventilo qui brasse rien du tout sous la main et qu'il faut écrire un dossier journalistique... On abandonne généralement tout pour se réfugier dans le lit, volet fermé. Résultat : le retard s'accumule :D
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