mardi 1 mars 2011

Bonheurs en boîte

2 commentaires:

Pti Pierre a dit…

Pour avoir travaillé en solitaire dans une entreprise de contrôle technique j'ai pu "goûter" aux bonheurs de chacun de nos pingouins.
Et donc, à mon avis, le bonheur du travailleur indépendant c'est qu'il n'a pas de chef à proximité qui lui aboie des ordres, mais la solitude est quelquefois difficile à supporter. Et il faut savoir gérer son affaire seul.
En entreprise on a des collègues, des chefs quelquefois ch…. d'autres fois plus sympas. On ne les choisit pas. C'est la loi des groupes il faut s'adapter. Mais quelle richesse de pouvoir communiquer, d'échanger même quand nos avis sont différents.

Anonyme a dit…

Le plus dur pour les indépendants : apprendre à travailler tout seul. Quand il fait 40° à l'ombre, qu'on a qu'un pauvre ventilo qui brasse rien du tout sous la main et qu'il faut écrire un dossier journalistique... On abandonne généralement tout pour se réfugier dans le lit, volet fermé. Résultat : le retard s'accumule :D